[NSBC] Le Premier Grand Amour de Fleur de Cerisier...

 

Après les cours, j'ai eu la surprise de recevoir l'appel d'une ancienne camarade de jeux, Léa Flex, qui m'a invité à passer chez elle pour prendre de mes nouvelles et peut-être renouer.
Cela faisait des années que l'on s'était perdu de vue mais le contact a été facile entre nous deux, comme si ces quelques années d'absence n'avaient jamais distendu nos liens ! Et puis je l'ai aperçu, lui...
Ce beau et ténébreux garçon croisé à la Tempête de strikes, il était là, sous mes yeux, et ce n'était autre que Lorenzo Flex, le petit garçon triste avec lequel je regardais les étoiles, enfant... Plus beau et plus ténébreux que l'autre jour à la Tempête de strikes ! Comme si c'était possible... Grande Observatrice, je crois que je vais faire un malaise ! Je me suis obligée à refermer la bouche (mon menton avait dû se dérouler jusqu'à terre comme dans les vieux cartoons...)...
... et à suivre Léa qui m'a entraînée dans la courette à l'arrière de la maison pour papoter ensemble. Je tremblais tellement à l'intérieur que j'avais du mal à me concentrer sur ses paroles... d'autant que son père a voulu frimer au basket...
... et qu'il s'est lamentablement réceptionné sur les fesses !
J'ai patiemment écouté Léa me raconter sa vie, m'obligeant à ne pas l'interrompre pour lui poser la question qui me brûlait les lèvres : "Lorenzo était-il célibataire ? Avais-je seulement l'ombre d'une chance de sortir avec lui ?"
Enfin, après avoir pris une profonde inspiration, j'ai pu lui glisser en chuchotant combien je trouvais son frère beau, attirant, fascinant, mystérieux, insaisissable... bref terriblement sexy. Et sa réponse m'a prise au dépourvu... Léa : - J'aime mon frère plus que tout, mais je suis aussi celle qui le connaît le mieux : Lorenzo est un être tourmenté et entier. Ne t'approche pas de lui si tes intentions ne sont pas sincères car il ne te pardonnera jamais de raviver ses blessures d'enfant...
Fleur de cerisier :  - Comment ça ? Je ne comprends pas... Léa : - Je ne sais pas si tu es au courant mais mes frères et moi sommes le fruit d'expériences scientifiques... Nos deux papas ont été des parents formidables, attentifs et attentionnés, mais envoyés à l'école, Lorenzo et moi avons été confrontés à la cruauté des enfants. Nous avons été l'objet de leurs brimades et moqueries. Ils nous avaient surnommés Twin Dolly  (en référence à la brebis du même nom, célèbre pour avoir été le premier mammifère cloné). Mais le plus insupportable, c'est quand ils bêlaient lorsque nous passions près d'eux ! Mon frère en a beaucoup souffert. Il n'a jamais vraiment accepté le fait d'être un bébé-éprouvette, et il s'est persuadé avec le temps être un monstre qui ne susciterait que le dégoût chez les autres, et surtout chez les femmes... Massimo, intervenant dans la conversation : - Moi, ça ne me dérange pas d'être un bébé-éprouvette ! Au contraire, je trouve ça géant ! Ca fait de nous des personnes uniques... Dis, Fleur, toi, ça te dérangerait pas de te marier avec quelqu'un comme nous ? Fleur : - Absolument pas, voyons ! Je crois que je suis devenue toute rouge, en pensant à mon hypothétique mariage avec Lorenzo, même si je brûlais un peu, beaucoup, les étapes. Fleur : - Tu sais, Léa, les différences ne me gênent pas le moins du monde, et je t'assure que mes intentions sont tout à fait sincères envers ton frère. Je me souviens du petit garçon adorable qu'il était, et de la complicité qui nous unissait. J'aimerais retrouver cela... et beaucoup plus même...
Prenant mon courage à deux mains, je me suis approchée de Lorenzo qui s'occupait de son potager. Je me sentais très intimidée, mais aussi chargée d'une terrible responsabilité suite aux confidences de Léa. Mais je me sentais trop irrésistiblement attirée par lui pour renoncer aussi facilement. Fleur de cerisier : - Tu sais, Lorenzo, sur mon île, il y a des plantes qui pourraient t'intéresser pour étoffer ton potager. Si tu veux, je pourrais t'en montrer les coins. Mais il m'a à peine répondu, ne prenant même pas la peine de relever la tête pour me regarder. Je suis repartie affreusement déçue...
Fleur de cerisier écrivant dans son journal : Il s'est passé quelque chose d'incroyable : le mystérieux inconnu de la Tempête de strikes n'était autre que mon ancien camarade de jeux, Lorenzo, celui que ma mère surnommait le dépressif ! Oui, ma mère a parfois des réflexions définitives, car pour ma part, j'ai trouvé son histoire très triste. Je viens de relire certains passages de mon journal intime du temps où il fréquentait la maison et je ne me souvenais même plus que l'on s'était choisi une étoile, NOTRE étoile, celle qui nous ferait penser à l'autre dans nos moments de tristesse. A vrai dire, j'ai très vite oublié ce pacte à partir du moment où il a cessé de venir à la maison. Je crois que c'est lié à la jalousie de mon père qui ne supportait pas de savoir Don présent en même temps que ses enfants. Bref, je ne sais même pas si j'aurais l'occasion de le revoir car il n'a pas semblé m'accorder beaucoup d'attention quand j'ai tenté de renouer avec lui... J'espère que Léa lui parlera en ma faveur et qu'il aura envie de passer du temps avec moi ! Car moi, j'ai envie de réapprendre à le connaître : est-il toujours le même petit garçon triste ? A-t-il appris à s'accepter comme il est ? J'ai très envie de le revoir... Même sans espoir, même pour l'aventure aussi éphémère soit-elle !
Lorenzo écrivant dans son journal : J'ai tout de suite reconnu Fleur de cerisier à la Tempête de strikes l'autre jour. Elle n'a jamais quitté mes pensées et je songe toujours à elle en regardant notre étoile certains soirs où le ciel est totalement dégagé. J'ai donc demandé à ma sœur de l'appeler mais j'ai bêtement laissé passer ma chance. Quand elle s'est avancée vers moi dans le jardin, je me suis senti tellement intimidé par sa beauté rayonnante , que je n'ai su que lui bredouiller quelques mots en guise de réponse, sur un ton renfrogné qui plus est, comme si elle me dérangeait ! Parfois, je me donnerais des claques... Je vais encore solliciter ma sœur pour qu'elle l'invite à nouveau, et cette fois, j'espère me conduire moins gauchement... Mais acceptera-t-elle de fréquenter l'espèce de monstre que je suis ? Léa m'affirme que l'histoire de ma conception ne la dérange absolument pas et qu'elle est peut-être déjà un peu amoureuse de moi. Ce serait vraiment trop beau ! Parce que moi aussi je suis un peu amoureux d'elle ! Peut-être même un peu plus que seulement un peu...
Massimo écrivant dans son journal : Aujourd'hui, j'ai rencontré une fille trop trop trop jolie ! Même son prénom est très joli : elle s'appelle Fleur de cerisier, ça en jette, non ? Elle est si jolie avec ses cheveux roses  qu'on dirait de la barbe à papa ! Je suis sûr qu'ils sentent aussi bon que des bonbons. Quand je la regarde, je l'aime tellement que j'ai un cœur à la place des yeux ! En tout cas, quand je serai grand, je me marierai avec Fleur de cerisier et on aura plein de jolis bébés aux cheveux couleur barbe à papa ! Ce sera trop chouette !
Jeudi, Akira entend avec une sorte de résignation désespérée ses enfants rentrer de l'école. Il aurait bien aimé avoir un peu de temps à lui, après avoir fait le ménage, les courses, le repas du soir... En plus, il a sauté dans la piscine sans maillot de bains, ne pensant pas la sortie des classes si proche... [Note de l'auteure : Akira a spontanément sauté à poil dans la piscine, je n'y suis pour rien pour une fois !!! ^^]
C'est Plipli qui le premier lui demande conseil : Plipli : - A la récréation, personne n'a voulu jouer avec moi ! J'ai dû rester dans mon coin... Si cela arrive de nouveau, que dois-je faire ? Akira : - Achète leur compagnie avec tes plus belles agates... Suivi de Nunu : Nunu : - Des enfants ont été méchants avec un de mes amis à l'école. Je voulais l'aider mais je ne savais pas quoi faire. Qu'aurais-je dû faire ? Akira : - T'avais qu'à manger plus d'épinards quand j'en proposais aux repas. Tu aurais ainsi pu mettre une tête au carré à tous ces petits branl... euh morveux !
Pour finir avec Fleur de cerisier : Fleur : - Je ne sais pas ce que je veux faire plus tard et tous mes amis ont l'air d'avoir déjà trouvé ce qu'ils veulent faire. Comment je fais pour savoir ? Akira : - Trouve-toi un vieux et riche mari, et si possible cardiaque, et t'auras ensuite tout le temps de trouver ta voie à l'abri du besoin... Ah oui, il a vraiment besoin de trouver du temps pour lui, Akira, je le sens un peu excédé, non ?... En tout cas, ses conseils sont contraires à la charte d'EA et n'engagent que lui, hein ! Car je me désolidarise complètement de ses propos !
Je n'ai pas vraiment eu le temps de méditer sur la sagesse des conseils prodigués par mon père, car j'ai reçu un coup de fil de Léa m'invitant à passer chez elle. Juste le jour où je n'étais ni maquillée ni bien habillée. J'ai hésité entre prendre le temps de me pomponner ou n'en pas perdre pour profiter davantage de Lorenzo. Je vous laisse deviner quelle option j'ai choisie ! ^^
Cette fois, Lorenzo avait l'air plus réceptif à ma conversation. J'ai compris alors que c'était la timidité qui l'avait fait paraître si distant hier. Je ne pensais pas qu'un garçon aussi beau que lui pouvait éprouver ce genre d'émotions mais je ne l'en trouve que plus craquant. Bon, ok, je ne suis peut-être pas objective mais avouez qu'il est trop beau !
Je ne sais pas si Léa nous a intentionnellement laissés seuls en faisant mine de s'occuper du petit Amine, mais j'en ai profité pour consoler Lorenzo, mortifié du comportement qu'il avait eu avec moi la veille et dont il s'est excusé avec beaucoup de sensibilité.
Puis, j'ai fait l'imbécile pour déloger de son regard cet air d'ineffable tristesse. Et j'ai réussi à le faire rire. Je ne sais pas pourquoi cela m'a procuré autant de bonheur mais c'était presque aussi bon qu'un baiser... Bon, ok, je n'ai eu qu'un baiser jusqu'à aujourd'hui, et c'était avec Mathieu, et j'ai eu l'impression d'embrasser une limace baveuse, beurk, mais je suis sûr que ce sera différent avec Lorenzo !
Nous avons eu à peine le loisir de discuter et d'échanger nos numéros de téléphone qu'il était déjà temps pour moi de rentrer, comme promis à mon père...
Je me suis lovée dans ses bras, où j'avais envie de rester blottie jusqu'à la fin des temps...
Et puis, je ne sais pas ce qui m'a pris, mais poussée par une subite impulsion, je l'ai embrassé sur la bouche, avant de m'enfuir comme une voleuse...
Dans la nuit de jeudi à vendredi, les jumeaux sont passés bambins... C'est bizarre qu'ils aient tous les deux les yeux verts... Je n'ai pas souvenir que mes parents m'aient parlé d'un ancêtre ayant cette couleur d'yeux !
Ah ben, la Clara est passée l'arme à gauche... Cela va encore alimenter les rumeurs les plus folles sur le fofo : Florent, véritable veuf joyeux ? Quels seront l'âge et l'identité de sa prochaine victime ? Il ne doit plus rester beaucoup de vieilles veuves à se mettre sous la dent...
Vendredi matin, alors que cela faisait moins de deux heures que j'étais en cours, j'ai eu la surprise de me voir proposer par Lorenzo de faire l'école buissonnière ! Lui qui a comme aspi "Sim aux multiples talents", je me sens vraiment flattée par son sacrifice... Par contre,  je me sentais encore gênée par mon baiser volé de la veille, aussi je me suis montrée excessivement volubile pour cacher mon embarras. J'espère qu'il n'a pas de moi une mauvaise image et qu'il ne va pas croire que je suis le genre de fille à me jeter facilement dans les bras des garçons !
Je me suis alors promis de prendre le temps avant de lui accorder un autre baiser, mais cette promesse a fait  long feu : je n'ai pu résister longtemps à l'envie de caresser ses lèvres avec les miennes...  Je comprends enfin ce que voulait dire Mathieu à propos du baiser avec la langue ! Grande Observatrice, qu'est-ce qu'il a dû me trouver gourde ce jour-là!
Ce baiser a été merveilleux ! Je sens Lorenzo aussi troublé que moi... Nos regards se prennent pour ne plus se déprendre et je me noie dans l'océan de ses yeux verts si envoûtants...
Lorenzo à Fleur : - Quand je te regarde, j'ai l'impression de contempler une œuvre d'art... Tu as pour moi le sourire mystérieux de la Joconde et la grâce éthérée de la Vénus de Botticelli !
Waouh ! Personne ne m'a jamais rien dit d'aussi beau ! J'ai juste eu envie de l'embrasser pour me fondre en lui et recréer l'être unique des origines... si l'on en croit Aristophane... Ben quoi, ça m'arrive d'écouter les cours de philo, surtout quand ça parle de seske...^^
Nos lèvres ont eu un mal fou à se quitter...
Puis nous avons voulu mettre en pratique la théorie d'Aristophane...
Mais nous étions toujours deux entités distinctes en ressortant du buisson !
Nous nous sentons tellement bien, blottis l'un contre l'autre, avec l'impression que le temps s'est suspendu...
Nous n'avons même pas besoin de parler, nous nous comprenons d'un seul regard, et ce que nos yeux s'avouent silencieusement, je ne pourrais le retranscrire avec des mots...
Malheureusement, il est déjà l'heure de se quitter, Lorenzo ayant promis à son petit frère de l'emmener au parc...
En rentrant, je me dirige machinalement dans la pièce où jouent les jumeaux, et je ne sais pas pourquoi mails ils me font penser à Léa et Lorenzo... à leur complicité gemellaire... à leurs yeux verts...
En fin d'après-midi, nous fêtons l'anniversaire de Plipli qui a eu la gentillesse d'inviter Lorenzo...
Bon, là nous sommes victimes d'un beugue, et nous embrassons chacun dans une pièce différente !! pfff...
Nous formons vraiment un joli couple, non ?
En tout cas, mon chéri essaie de faire bonne impression auprès de mon père en faisant la vaisselle ! ^^ Quand je vous disais qu'il est bon à marier !
Sinon, voilà Plipli en gros plan... Il ressemble vraiment pas aux parents, à croire que j'avais raison quand, enfant, je lui avais dit qu'il avait été trouvé dans une nasse à grenouilles pour le faire pleurer !
Maman a réuni son groupe Sci Games mais Don préfère s'occuper de Nuit étoilée...
Maman a également décidé de changer toute sa garde-robe : il était temps car je commençais par la trouver ridicule avec ses tenues sexy de jeune fille en fleurs... Nunu est très proche de Nini (le contraire de moi et Plipli au même âge) !
Il adore lui jouer un spectacle de marionnettes...
Pendant ce temps, les trois hommes de la maison se retrouvent à l'étage. Comment il se la pète, Plipli depuis qu'il est ado ! Il se prend pour un homme et se croit autorisé à boire un cocktail ! Et Papa ne dit rien, alors qu'il m'a toujours interdit la consommation d'alcool,c'est injuste !!
Du coup, j'évacue ma colère en me mettant au fitness, ce qui me permettra accessoirement de garder la ligne... contrairement à maman qui n'a fait que s'empâter avec les années...
Je trouve que Don passe vraiment beaucoup de temps à la maison !
Il n'en fait pas un peu trop avec les jumeaux ?
Et un peu trop avec ma mère ?
Bref, samedi dès potron-minet, Lorenzo passe à la maison. Je l'entraîne rapidement dans ma chambre...
Mais curieusement, c'est dans la chambre de mes parents que nous faisons l'amour ! Cherchez pas à comprendre, c'est les Sims...
Seules quelques heures nous séparent de notre rendez-vous aux Falaises en début d'après-midi mais cela m'a semblé une éternité !
Grande Observatrice, qu'il est beau ! Il a un corps de rêve, il n'y a vraiment rien à jeter, mais comment s'en étonner quand ses pères sont Marcus et Don, deux sportifs accros à la salle de sport ? Or, il n'est pas qu'un corps parfait mais également une tête bien faite. Lorenzo me confie ses projets d'avenir, même ceux dont je ne fais pas partie, comme celui où il désire devenir astronaute ! Peut-être ira-t-il visiter notre étoile ?
On est tellement bien au bord de l'étang... il est tellement attentionné et tellement tendre...
Là, il essaie de m'impressionner en faisant le saut de l'ange mais il n'en a vraiment pas besoin...
Je crois que je ne me lasserai jamais de ses baisers. Ils ont le goût de la douceur et de la tendresse, sans cesse renouvelées...
Malheureusement, je dois me détacher de lui, bien à contre-cœur ! Lorenzo : - Reste, je t'en supplie, mon amour... Reste encore un peu, juste une seconde, une toute petite nano-seconde... Fleur de cerisier : - Ne me tente pas, je dois y aller, tu le sais bien. J'ai déjà dépassé le couvre-feu instauré par mon père, et je ne veux pas qu'il me prive de sortie, ce qui reviendrait à me priver de toi ! Non je dois vraiment y aller, mon amour...
Lorenzo : - Et où serais-tu mieux qu'entre mes bras, petite Fleur chérie ! Fleur de cerisier : - Je te promets de me rattraper demain ! Je saurai rendre cette journée inoubliable pour me faire pardonner.... Lorenzo : - Ne me parle pas comme ça, petite Fleur chérie, ou je ne pourrai plus jamais te laisser partir... Alors file... avant que je ne change d'avis !
Fleur de cerisier écrivant dans son journal : Je ne ne pensais pas éprouver un jour cela pour un garçon !  Dire que j'ai écrit dans mon journal étant petite que je ne me marierai jamais pour avoir autant d'amoureux que je veux, mais aujourd'hui je ne veux que Lorenzo ! Je ne pensais pas que l'amour pouvait faire ressentir des émotions aussi intenses ! Ni que le vide de son absence pouvait prendre autant de place en moi. Son image est imprimée à mes rétines et je la promène avec moi, du bout de mon regard. Dans ma chambre, sur le chemin du lycée, sous la vaste voûte étoilée...J'ai hâte de regoûter à ses baisers. Quand il m'embrasse, quand il m'enlace, je sens mon âme vibrer à l'unisson de la sienne...
Lorenzo écrivant dans son journal : Je n'ai jamais été aussi heureux de toute ma vie. Fleur et moi nous comprenons sans avoir besoin de parler. Je pourrais passer des heures et des heures à la contempler sans me lasser. A regarder l'ombre de ses cils se posant sur ses joues tels deux papillons frêles... A écouter sa voix, plus légère qu'une plume, plus douce qu'un pétale... A recevoir son sourire qui éclaire mes paupières... Je ne savais pas tout ça, avant de la connaître, je ne savais pas le vrai goût du bonheur. Quand elle n'est pas là, j'ai l'impression qu'il me manque une partie de mon âme, alors je ferme les yeux et ma petite Fleur chérie résonne en moi... J'ai tellement hâte, tellement tellement hâte d'être à demain ! Hâte de me recueillir au creux de son cou, me noyer dans sa chaleur parfumée, me sentir vivant au contact de son souffle... Que demain vienne vite !
Or, dans la nuit...
Bilan de Jade sur 7 semaines :  - 2 ennemis - Carrière Scientifique niveau 8 - Malice niv.7 - Logique niv.8 - Aspiration "Reine des bêtises" 3/4 - Collection des éléments complète - 6 prétendants potentiels  (Don Lothario, David Moreau, Sergio Romeo, Caleb Vatore, Paolo Rocca, Arnav Banerjee) - 1 mariage avec Akira Kibo - 4 crises de jalousie - 1 héritière : Fleur de Cerisier - 1 fils : Pluie d'automne - 1 deuxième fils : Nuage de montagne - deux enfants adultérins avec Don Lothario : Nuit Etoilée et Soleil de minuit Bilan de Fleur de cerisier sur 1 semaine et 5 jours :  - 2 petits-amis (Mathieu Chevalier & Lorenzo Flex) - Aspiration "Romantique en série" 2/4